Le 28 mars 2008 |
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A
l’aube
de la
Ligue
1 ?
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Nous
l’avons
dit
et répété,
la remontée
du FC
Nantes
en Ligue
1 ne
fait,
à nos
yeux,
plus
aucun
doute.
Avec
quatorze
points
d’avance
sur
le quatrième,
Clermont,
et neuf
rencontres
à disputer,
soit
vingt-sept
unités
à récupérer,
seule
une
malédiction
pourrait
empêcher
les
Canaris
de retrouver
l’élite
nationale,
qu’ils
avaient
atteinte
en 1963.
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De
l'audace
pour
une
aubade
?
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En
considérant
les
choses
de la
sorte,
comment,
donc,
envisager
ce déplacement
à Troyes,
qui
reste
sur
une
série
de deux
défaites
consécutives
en championnat ?
Les
responsables
nantais
pourraient,
par
exemple,
faire
confiance
à quelques
jeunes
joueurs,
leur
proposant
un véritable
défi,
face
à une
grosse
cylindrée.
Il serait
intéressant
d’apprécier
leur
capacité
à gérer
la pression
imposée
par
un rendez-vous
d’importance.
A ce
sujet,
nous
avons
apprécié
l’intégration,
cette
semaine,
de Mathias
Coureur
à l’entraînement
du groupe
professionnel.
Michel
Der
Zakarian
aurait-il
une
idée
derrière
la tête ?
Cette
éventualité
n’est
pas
pour
nous
déplaire,
mais
nous
émettons
de lourdes
réserves
quant
à l’euphorie
que
cette
nouvelle
pourrait
provoquer
du côté
de Waldemar
Kita…
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Jouer
à se
faire
peur
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Mais
l’ESTAC,
ce n’est
pas
seulement
un concurrent
direct
en vue
de la
promotion.
C’est
également
un adversaire
historique
du FCN,
qu’il
a rencontré
à vingt-deux
reprises
au cours
de son
histoire.
Et comment
évoquer
le passé
de cette
affiche,
sans
parler
de celui
de la
saison
2005-06,
au Stade
de la
Beaujoire ?
Dans
une
partie
disputée
sur
fond
de maintien
(au
moment
des
faits,
les
Nantais
sont
douzièmes
et les
Troyens,
seizièmes),
les
deux
formations
semblent
se diriger
vers
le partage
des
points,
lorsque
Mamadou
Diallo
est
fauché
à l’entrée
de la
surface
de réparation.
Alain
Sars,
l’arbitre
de la
rencontre,
accorde
un excellent
coup-franc
au buteur
malien
et dans
un élan
de générosité,
expulse
le portier
visiteur,
Ronan
Le Crom.
Claudiu
Keserü
se charge
de transformer
la sentence,
bien
aidé,
il est
vrai,
par
le fait
que
le "keeper"
adverse
ait
été
remplacé
par
un joueur
de champ,
Jean-Marc
Furlan
ayant
alors
déjà
utilisé
ses
trois
solutions
de renfort.
Le plus
dur
semblait
avoir
été
fait,
il s’agissait
de conserver
le butin.
Mais
c’était
sans
compter
sur
l’homme
en noir,
peu
satisfait
par
un tel
dénouement.
C’est
ainsi
qu’il
accordait,
seulement
quelques
minutes
plus
tard,
un penalty
aux
Aubois
et en
profitait
pour
expulser
Mickaël
Landreau.
Ayant
également
fait
usage
de ses
trois
"cartouches",
Serge
Le Dizet
n’avait
guère
d’autre
alternative
que
de confier
les
gants
à… Nicolas
Savinaud,
qui
justifiait,
par
la même,
que
sa réputation
de polyvalence
n’était
pas
usurpée.
Le milieu
défensif
de formation
ne pouvait
néanmoins
rien
et plongeait
dans
le zig,
alors
que
le ballon
avait
été
placé
dans
le zag.
Les
Jaunes
perdaient
deux
points,
mais
récupéraient
l’occasion
de se
faire
peur
jusqu’au
terme
de la
saison.
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Blessures
et incertitudes
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Pour
en revenir
au match
de lundi,
notons
le possible
forfait
d’Aurélien
Capoue.
Le king
des
dance-floors
a quitté
l’entraînement
de mercredi
dernier
de manière
prématurée,
victime
d’un
coup.
Le staff
médical
nantais
craint
une
blessure
au genou,
même
s’il
faudra
attendre
les
ultimes
tests
pour
évaluer
l’étendu
des
dégâts.
Pour
sa part,
David
De Freitas
est
en phase
de reprise
et a
renoué
avec
la course,
cette
semaine.
Si l’on
en croit
les
déclarations
de Philippe
Daguillon,
l’ancien
amiénois
pourrait
rapidement
reprendre
le rythme
normal
de ses
coéquipiers.
Précisons
enfin
que
Christian
Bekamenga,
fort
d’une
prestation
convaincante
avec
l’équipe
réserve,
le week-end
dernier,
semble
bien
négocier
ses
premiers
jours
en Loire-Atlantique
et pourrait
faire
partie
du voyage
dans
l’est.
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TROYES
- NANTES
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Ligue
2 -
30ème
journée
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Lundi
31 mars
à 20h30,
au stade
de l'Aube
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Arbitrage
: Bertrand
Layec
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Match
diffusé
sur
Eurosport
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Voir
les
groupes
et les
compos
|
Voir
l'historique
entre Troyes
et
Nantes
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Hommage
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Note
de l’auteur
:
C’est
avec
une
grande
tristesse
que
j‘ai
appris,
cette
semaine,
le décès
de Thierry
Gilardi,
à seulement
49 ans,
victime
d’une
crise
cardiaque.
Figure
emblématique
du journalisme
sportif
français,
il était
décrit
comme
un personnage
attachant
et jovial,
c’est
l’image
que
je garderai
de lui.
A ses
proches,
je souhaite
exprimer
mes
condoléances
les
plus
sincères.
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« Loko,
Pedros,
Pedros,
Loko !
But
de Patrice
Loko !
C’est
fabuleux,
c’est
extraordinaire,
un ballon
qui
n’a
pas
touché
le sol ! »
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Merci
pour
tout,
Thierry !
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Loïc
Souchon
© FCNhisto.fr -
Le 28
mars 2008 |
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