Le 26
août
2008 |
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Les
supporters
n’approuvent
pas
la gestion
de Kita
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726
supporters
nantais
se sont
exprimés
quant
à la
gestion
du président
Waldemar
Kita
en
ce qui
concerne
le secteur
sportif.
Lundi
18 août
2008,
nous leurs
avons
proposés
de participer
à un
sondage,
suite
à cet
article
:
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Depuis
plusieurs
mois,
Der
Zakarian
est
assis
sur
un siège
éjectable.
Kita
lui
met
actuellement
une
grosse
pression,
n'ayant
pas
voulu
le remplacer
pour
respecter
la parole
donnée
en fin
de saison
dernière.
Kita
a-t-il
raison
de faire
autant
de bruit
après
deux
matchs
de Ligue
1 ?
Ne s'immisce-t-il
pas
trop
dans
le secteur
sportif
?
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Ils
ont
répondu
« non »
en grande
majorité.
435
d’entre
eux,
soit
59,92
%, n’approuvent
pas
les
choix
de Kita,
tandis
que
291
votants,
soit
40,08
%, lui
assurent
leur
confiance.
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Les
années
noires
vont
perdurer
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Après
la défaite
face
à Bordeaux
(2-0),
Michel
Der
Zakarian
devrait
donc
faire
les
frais
des
mauvais
résultats
enregistrés
depuis
le début
de la
saison.
Le coach
nantais,
comme
les
précédents
techniciens
de la
Maison
Jaune,
assurera
donc,
seul,
les
responsabilités
de cet
échec.
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Waldemar
Kita
laisse
peu
de temps
au temps,
et parle
encore
et encore
de changer
d’entraîneur.
Des
noms
circulent,
dont
un plus
prononcé
que
les
autres,
celui
d’Alain
Perrin,
fan
de costards
et qui
accepte
de se
cacher
derrière
l’immixtion
d’un
président
dans
le secteur
sportif,
comme
ce fut
le cas
à l’OL…
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Les
années
passent,
les
investisseurs
et les
présidents
passent,
mais
les
résultats
restent
les
mêmes.
Cela
avant
tout
à cause
d’un
manque
évident
de stabilité.
Comment
trouver
le rythme
rapidement
avec
un groupe
renouvelé
de moitié
? On
sait
tous
que
c’est
difficile,
que
ça demande
des
réglages.
Certes,
le coach
nantais
n’est
pas
le meilleur
entraîneur
de Ligue
1, mais
peut-il
être
considéré
comme
seul
et unique
responsable
du mauvais
début
d’exercice
? Non,
évidemment.
Pourtant,
il va
payer
seul
l’addition,
comme
Eo,
Le Dizet,
Amisse,
Marcos
et Denoueix
avant
lui.
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L’arrivée
de Kita,
dont
le passé
à Lausanne
reste
controversé,
n’aura
donc
rien
changé
dans
le secteur
sportif.
La politique
« gripondienne »,
ou « roussillonnienne »,
hante
toujours
les
bords
de l‘Erdre,
avec
ses
guerres
intestines
par
presse
interposée.
Kita
ne vaut
guère
mieux
que
les
deux
fossoyeurs
de la
Maison
Jaune.
Seul
le temps
pourrait
nous
faire
changer
d’avis,
mais
comme
le temps
c’est
de l’argent,
et que
Kita
aime
surtout
le fric
et les
shows
médiatiques,
le FCN
va continuer
à s’enliser
dans
le tourbillon
qui
l’habite
depuis
la fin
des
années
90.
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Perrin
sous
la carpette
du président
Kita
?
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Kita
se défausse
de sa
part
de responsabilités,
il met
tout
sur
les
épaules
du coach,
disant
haut
et fort
regretter
de l’avoir
conservé
durant
l’intersaison.
C’était
déjà
à cette
période
qu’il
annonçait,
dans
la presse,
qu’il
ne ferait
jamais
confiance
à un
entraîneur…
Quelques
semaines
plus
tard,
Henri
Michel
refusait
le poste
de manager
que
lui
proposait
Kita.
L’ancien
joueur
nantais
avait
expliqué
qu’au
delà
des
différents
financiers,
il existait
des
différences
importantes
quant
à leur
vision
de la
gestion
du secteur
sportif…
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Seule
une
marionnette
accepterait
de courber
l’échine
et de
ramper
sous
la carpette,
devant
le président
Kita.
Ce rôle
semblerait
aller
comme
un gant
à Alain
Perrin,
et cela
malgré
ses
compétences
affichées
par
le passé,
notamment
avec
le club
troyen…
Mais
ces
dernières
saisons,
l'ex
coach
lyonnais
respire
davantage
le plan
de carrière
bien
juteux,
voire
médiatisé,
que
le projet
sportif
sur
le long
terme...
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Les
jours
qui
vont
suivre
nous
diront
si les
deux
hommes
ont
trouvé
un accord.
La suite,
l’avenir
de la
Maison
Jaune
pâle,
est
entre
les
mains
de joueurs
de poker
sans
grand
talent,
qui
relancent
à tout
va dès
qu‘un
as,
même
écorné,
fait
son
apparition
dans
le flop…
La sortie
du tunnel
est
encore
loin,
et le
FCN,
malade
depuis
près
de 10
ans,
connaîtra
donc
une
convalescence
prolongée…
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Pascal
C. © FCNhisto.fr
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Le 26
août
2008 |
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