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Le 27 mai 2009

 

L'omnipotence

FC Nantes : Interview renversante de Kita, Praud et Larièpe

Attention : interview totalement inventée

 

Le FC Nantes n'est plus, il est mort après une lente agonie qui aura duré dix ans. L'an prochain,  en  Ligue 2,  c'est  le  FC Kita qui tentera de faire oublier les « Choristes » d'antan.

Pour l'instant, nous vous proposons une interview des trois hommes « forts »  qui dirigent le club. Cette interview a été totalement inventée par Pascal, webmaster de FCNhisto. C'est une fiction, rien n'est vrai, et même si parfois certains échanges pourraient ressembler à la réalité, ce ne serait que pure coïncidence.

 

FCNhisto : Bonjour monsieur Kita, comment allez-vous ?

Kita : « Bien, mais j'espère que Praud va arriver... »

 

- Pourquoi, vous ne pouvez pas répondre à nos questions en son absence ?

Kita : « Si, c'est moi le patron quand même, ne l'oubliez jamais ! »

 

- Alors commençons président, si vous le voulez bien.

Kita : « Non, attendons encore un peu, déjà que vous m'avez pris de cours, je ne connais pas les questions. »

 

- Pourtant nous avons remis les questions à Pascal Praud, comme vous nous l'avez demandé.

Kita : « Justement, je préfère attendre qu'il soit là, il aura filtré les questions et il m'aura préparé quelques réponses. »

 

- Vous avez pourtant dit être le patron ?

Kita : « Oui, alors vous faites comme je dis, ou je m'en vais ! »

 

- Monsieur Praud arrive, ça va simplifier les choses.

Kita : « Ce n’est pas trop tôt ! Alors Praud, vous manquez de ponctualité, au prix que je vous paie, vous ne devriez pas me manquer de respect. »

Praud : « Mais justement président, j’ai travaillé pour vous. Filtrer les questions, préparer vos réponses, ça n’a pas été facile. »

Kita : « Donnez moi ça, que je me rende compte. »

Praud : « C’est devenu très court, forcément. »

Kita : « Il n’y a que deux questions, ce n’est pas avec ça qu’on va pouvoir faire une interview qui mette en valeur ma volonté de faire du FC Nantes un club phare du football français ! »

 

- Gripond avait promis de faire du FCN le Manchester United français, vous avez le même objectif ?

Kita : « Mais moi je réussirai, je ne suis pas qu’un simple président délégué. Et puis je préfère prendre exemple sur Barcelone. Le blason du club espagnol m’a déjà beaucoup inspiré, je continuerai à copier ce grand club. »

 

- Le FC Nantes va donc perdre son identité, définitivement ?

Kita : « La question n’était pas prévue, mais je vais répondre malgré tout. »

Praud : « Je l’avais rayée président, vous n’êtes donc pas obligés de répondre. »

Kita : « C’est moi le patron, restez à votre place Praud. J’ai envie que ces nostalgiques prennent conscience de la situation. Le football a changé, le FC Nantes doit évoluer avec son temps et oublier le passé. Vivre des souvenirs d’antan ça ne fait pas gagner des titres. »

 

- Qu’est-ce qui fait gagner des titres, selon vous ?

Kita : « Moi ! Je sais m’entourer, je sais prendre les bonnes décisions et faire les meilleurs choix. Si le FCN est remonté en Ligue 1 en seulement une saison, vous croyez que c’est grâce à qui ? »

 

- Mais le FCN est déjà de retour au purgatoire en aussi peu de temps, estimez vous être responsable de cet échec ?

Kita : « Oui et non. Oui, parce que je dois faire amende honorable, comme me le souffle Praud à l‘oreille. Et puis il faut bien préparer la saison prochaine afin d’attirer quelques naïfs pour mieux leur vendre un abonnement toujours plus onéreux. Non, car ce sont les joueurs qui sont sur le terrain et ce sont eux qui n’ont pas donné le meilleur. »

 

- Ces joueurs, n’est-ce pas votre équipe qui les a fait venir à Nantes ?

Kita : « Larièpe est compétent, on se connaît depuis longtemps. Mais comme tout le monde, il peut faire quelques erreurs. Il était difficile de prévoir que Klasnic ne serait pas aussi bon qu’en Allemagne, ou que Gravgaard allait rater son début de saison avec nous. Les responsabilités de l’échec sont plus à mettre sur le dos des joueurs, que sur le recrutement de Larièpe. Grenoble, Caen ou Saint-Etienne auraient rêvé de faire signer ces joueurs de niveau international, alors qu’on ne vienne pas me dire que le recrutement de Larièpe était un échec. »

 

- Monsieur Larièpe avait pourtant critiqué Grenoble, et avait juré que le FCN terminerait mieux classé.

Praud : « Ne répondez pas président, la question a été filtrée. »

Kita : « Fermez la Praud, n’essayez pas de dépasser le maître et restez à votre place, je ne le dirai pas une troisième fois. C’était quoi votre question ? Ah oui, Larièpe… Il ne devrait pas tarder à arriver, je lui ai demandé de venir, au cas où, alors vous lui poserez la question directement. »

Praud : « Si Larièpe doit arriver, alors je peux partir président ? »

Kita : « Oui, fichez le camp, vous êtes un incapable, même pas fichu d’être à l’heure et de me préparer une interview qui tienne la route. »

 

- Monsieur Praud, avant de partir, pouvez-vous nous dire si vous serez encore au FC Nantes l’an prochain ?

Praud : « Euh... comment dire… »

Kita : « Comment dire quoi ? Mais vous n’avez rien à dire, vous êtes mon employé et c’est moi qui décide de votre avenir. Si vous voulez tout savoir, vous êtes virés dès la fin de saison et sans indemnité. Je connais déjà votre remplaçant, beaucoup plus respectueux de la hiérarchie que vous, que j’ai sorti d’un emploi de misère pour vous remettre sur le devant de la scène. »

Praud : « Vous n’allez pas me faire ça président, j’ai tout fait pour vous. »

Kita : « Vous n’avez rien fait d’autre que ce que je voulais, mais j’ai trouvé mieux. »

 

- Pourrait-on savoir qui remplacera Pascal Praud ?

Kita : « Stéphane Bitton, ça vous épate, j’en suis sûr ! Je sais attirer les meilleurs, moi, et ce n’est pas fini, vous aurez d’autres surprises. »

Praud : « Bitton ? Vous allez me remplacer par Bitton, c’est scandaleux ! »

Kita : « J’ai trouvé pire que vous mon pauvre Praud. Il est capable de se mettre à quatre pattes sous ma carpette et il courbera l’échine devant moi. Vous le faites aussi, mais dès que j’ai le dos tourné, vous rêvez de prendre ma place, vous vous croyez meilleur que moi…. Larièpe arrive, laissez lui la place et laissez nous travailler. »

 

- Au revoir monsieur Praud, on vous reverra sans doute sur une chaîne de la TNT prochainement.

Praud : « Allez vous faire foutre, tous ! Je ne suis pas une pompe à vélo moi, je ne me vends pas au moins offrant ! J’ai connu Suaudeau, le jeu à la nantaise, les titres du FC Nantes. J’ai travaillé pour TF1 et pour des grandes radios françaises. Je n’aurai pas de mal à retrouver ma place. »

Kita : « Très bien, allez y, partez et allez faire vivre votre blog Internet, s’il existe toujours…. Asseyez-vous Larièpe, et ne faites pas attention à ce que raconte ce pauvre Praud, il ne sait plus où il en est. »

Larièpe : « Bonjour… Praud, s’il vous emmerde, vous me le dites président, je le prends entre quatre yeux et ça va être réglé rapidement. »

Kita : « Je sais, je sais, mais ce ne sera pas utile, regardez, il est déjà parti dans la librairie d’en face… »

 

- Quel avenir pour le centre de formation du club ?

Kita : « Je l’ai déjà dit, aucune décision ne sera prise avant la fin du championnat. Une chose est sûre, Guyot ne sera plus le directeur du centre de formation. »

 

- Pourquoi ? Guyot a pourtant eu des résultats avec la formation.

Kita : « Il ne faut pas être un grand entraîneur pour réussir avec la CFA 2, et je sais de quoi je parle, n‘est-ce pas Larièpe ? »

Larièpe : « Surtout que Guyot n’a pas réussi à faire remonter l’équipe en CFA. Moreau est mieux armé et il respecte sa hiérarchie. Pour travailler en équipe, c’est important. »

 

- Moreau était pourtant l’entraîneur de la CFA quand l’équipe a été reléguée.

Kita : « Ne mélangez pas tout ! Moreau travaillait dans un contexte malsain, il n’y avait aucun professionnalisme dans ce club, avant mon arrivée. Depuis, il a prouvé ses qualités. Il aurait gagné la Coupe Gambardella, il aurait plus de chances d’obtenir une prolongation de contrat, mais je n’ai encore rien décidé. »

 

- Monsieur Larièpe, vous souvenez-vous les propos que vous aviez tenus à l’égard de Grenoble ?

Larièpe : « Quoi Grenoble ? Ils ont quand même beaucoup de chance ! Une équipe aussi mauvaise qui réussit à se maintenir sans trop de difficultés, c'est tellement rare. »

Kita : « Oui, comme le dit Larièpe, Grenoble a eu beaucoup de réussite, mais ils ont un atout important, c‘est leur nouveau stade. J‘ai proposé un projet similaire, mais personne n‘a voulu me soutenir dans cette tâche. On ne peut pas avancer et évoluer si tout le monde n‘abonde pas dans mon sens. »

 

- Admettons que ce nouveau stade soit en projet, mais il ne serait pas construit et Grenoble serait quand même devant le FCN au classement.

Larièpe : « Il va falloir que vous baissiez d’un ton, sinon l’interview ne va pas durer… »

Kita : « Laissez les parler, Larièpe, ils sont jaloux des gens qui ont des idées novatrices. »

 

- Vous estimez donc que si le nouveau stade était en projet, le FCN ne serait pas aussi mal classé ?

Kita : « Evidemment ! Il faut tout mettre en œuvre pour que la réussite soit totale, mais nous n’avons pas trouvé des hommes responsables pour appuyer ce projet. C’est vers eux que vous devez vous tourner pour trouver les raisons du mauvais classement du club, de mon club. »

 

- Si vous ne les avez pas trouvés, comment voulez-vous qu’on sache vers qui nous tourner ?

Larièpe : « Faites les malins avec votre petit site indépendant, ça ne va pas durer. »

Kita : « Larièpe, voyons, un peu de retenu, gardons ça pour nos avocats. Revenons à votre question… Vous faites semblant de ne pas comprendre ? La mairie ne veut pas nous soutenir, et sans l’investissement des collectivités locales, je ne peux pas assumer seul le coût d’un tel projet, c’est aussi simple que ça. »

 

- Vous n’avez pas de moyens financiers aussi importants que vous le laissez entendre ?

Kita : « C’est mon argent, j’en fais ce que je veux. »

 

- L’argent des contribuables aussi vous aimeriez en faire ce que vous voulez ?

Kita : « Les gens doivent payer, c’est comme ça, surtout s’ils veulent un grand club à Nantes. Les gens veulent tout, tout de suite, mais ils ne veulent rien payer, c’est un comble. Moi, je propose des solutions pour sortir de la crise, mais ça ne plait pas, alors que dois-je faire ? »

 

- Justement, en période crise, est-ce le bon moment pour faire de tel projet ?

Kita : « La crise fait mal à tout le monde. Vous croyez que c’est facile pour moi ? Je suis obligé de faire travailler mon fils auprès de moi pour lui assurer un avenir conséquent. Tout le monde ne le fait pas, alors vos insinuations, vous pouvez les garder. »

 

- Quel est le rôle de Franck Kita, votre fils, au sein du club ?

Kita : « Il travaille. Vous croyez quoi ? Vous croyez que c’est facile de trouver un logement convenable pour Babovic, par exemple ? Mon fils a réussi à mettre le jeune serbe dans les meilleures conditions, c’est important pour le groupe. »

 

- Babovic n’a pourtant pas apporté grand chose, sportivement.

Larièpe : « Il est drôle lui ! Demande donc à Abdoun si le message n’est pas passé entre eux ! Si tu ne sais rien, tu ne poses pas de question. »

 

- Monsieur Larièpe, pourriez-vous en rester au vouvoiement, s’il vous plait ?

Larièpe : « Pour te mettre une branlée entre quatre yeux, pas la peine d’utiliser les formules de politesse. Continue à poser des questions de ce style et tu vas appendre à me connaître. »

 

- On vous connaît un peu mieux depuis le rapport à la LFP du responsable de la sécurité de l’EA Guingamp.

Larièpe : « Prends ça dans ta gueule espèce de connard ! »

Kita : « Tiens le Christian, je vais lui mettre un coup pendant qu’il est inoffensif… »

Larièpe : « Vas-y Waldemar, défonce lui la tronche à ce merdeux. »

 

- Messieurs, messieurs, du calme, la violence n’arrange rien !

Kita : « Vous allez la fermer ! Vous voulez un coup de boule ? »

Larièpe : « Oui mets lui un coup de tronche Waldemar, j’adore ! »

Kita : « Non vas-y Christian, sinon, je vais être obligé de me repoudrer. »

 

- Alors messieurs, vous voulez continuer sur ce ton ?

Larièpe : « Merde ! Il a la tête dure ce con ! Je ne pensais pas que ça finirait comme ça. »

Kita : « J’appelle nos avocats, Christian… »

Larièpe : « Appelle les flics aussi, il faut leur en faire baver à cette équipe de baltringues qui se croit au-dessus des lois ! »

 

- Mais nous respectons les lois, comme nous avons respecté l’organisation de cette interview !

Larièpe : « Ton interview est bidon, jamais elle ne sera publiée. »

Kita : « Surtout avec deux questions autorisées, vous n’arriverez jamais à faire croire à qui que ce soit que vous n’avez pas inventé le reste. »

 

- Alors restons-en là, on détruit l'enregistrement, vous repartez et on n’en parle plus.

Larièpe : « Tu rigoles ou quoi ? Les flics arrivent, tu vas manger un maximum pour m’avoir frappé ! »

 

- Je ne vous ai pas frappés, je me suis défendu.

Kita : « Vous ne pourrez pas le prouver. On va dire aux flics qu’on est venu demander des comptes pour une interview truquée et que suite à nos exigences de ne pas utiliser ce genre de procédé, vous avez pété un plomb. Les flics nous croirons, on n’est pas n’importe qui, nous ! »

 

- Voilà la police, on va pouvoir s’expliquer.

Le policier : « Messieurs… C’est vous l’auteur de l’agression sur messieurs Kita et Larièpe ? Suivez nous au poste et vos collègues aussi. »

Larièpe : « Alors, tu fais moins le malin maintenant… »

Kita : « On va vous faire taire, définitivement. »

 

La suite de l’interview se fera au commissariat. Chaque membre de notre équipe est menotté d’une main au pied de sa chaise. Les questions ne sont plus posées par nos soins, mais par la police, qui nous poursuit pour violences physique et morale sur le président et le directeur technique du FC Nantes afin de les faire parler sous la contrainte. Le procès verbal ne nous autorise pas à en divulguer le contenu, puisqu'il n'existe pas, cette interview étant totalement inventée, nous préférons le rappeler.

 

 

Pascal C.  ©   FCNhisto.fr  -  Le 27 mai 2009

 

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